Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le rupellien
Le rupellien
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 7 335
Derniers commentaires
Archives
27 février 2013

Fòrça Tolosa !

Rupella à la gastro. Après Francus c'est le tour de l'Orant. Heureusement qu'il y en a toujours un en forme pour tenir la boutique. D'après les clients, le mal ravage la ville. Après une semaine de vacances, le travail s'est accumulé et je tourne au ralenti avec juste un petit café dans le ventre qui semble hésiter à descendre. La journée risque d'être longue. Francus est guilleret et je l'entends causer aimablement avec la clientèle. Il faut dire que ce matin, il m'a déclaré être content d'avoir fait deux lessives et en particulier d'avoir nettoyé son bonnet et son écharpe, ajoutant qu'il avait des joies simples.

Le souvenir des vacances me donne du baume au coeur. Je commence par la fin. Nous avons passé deux merveilleuses journées chez Jacques et Isabelle. L'arrivée à Tolosa fut pourtant des plus laborieuse. Une terrible tramontane nous arrivait en face. La requine faisait du 90 pied au plancher. A partir de Carcassonne, il se mit à neiger. On dirait le sud... Nous avons d'autant plus pu apprécier la chaleur du foyer de nos hôtes. Qu'elle agréable maison ! Nous pouvons témoigner du confort du canapé taupe où nous avons dormi comme des loirs. 

Dimanche nous avons conversé de multiples sujets en compagnie de Michael un ami d'Isabelle et de Jacques. Et lundi nous avons visité le centre ville avec Isabelle. Les églises et les cloîtres toulousains sont splendides. Les terrasses des cafés, vidées par le froid, nous laissent entrevoir l'animation de la ville dès que le soleil brille. Et il paraît que ça arrive, même si, d'après Isabelle, le Djahoui a une théorie contraire la dessus. Avec en plus de très belles librairies et toutes sortes de lieux où l'on fait de la théologie. Voici une autre destination possible pour les futurs bohémiens.

Demain, je vous parle de Montpellier. J'ai oublié mon estomac le temps de cette chronique.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
B
Mais je ne connais pas ce Michaël !
Publicité